Maîtresses de Louis
XV
Pauline-félicité marquise de Vintimille
Marie-Anne de la Tournelle
Adélaïde duchesse de Lauraguais Une autre des sœurs de Louise-Julie de Mailly succède à Madame de Châteauroux dans la couche du roi et tente de combler le vide laissé par la mort de sa sœur. Le roi est inconsolable, sujet à des crises de neurasthénie. La duchesse de Lauraguais essaie de consoler le roi de la perte de sa maîtresse en titre, mais rien n'y fait, Adélaïde ne parvient pas à dérider Louis. Le roi est las de la famille de Nesle. Adélaïde quitte la cour. Quant à la dernière des filles Nesle, Hortense Mancini, elle tenta sa chance auprès de Charles II, roi d'Angleterre La marquise de Pompadour
Marie Louise O' Murphy ![]() Marie Louise O' Murphy naît le 22 octobre 1737, son père Daniel O' Murphy est Irlandais ainsi que sa mère Peggy O' Hickey. La mère de Marie Louise vend des vêtements d'occasion dans les rues. Marie Louise pose pour le peintre François Boucher. Marigny achète le tableau qu'il offre à sa sœur, la marquise de Pompadour, qui elle même en fait don au roi. Le modèle du tableau plaît beaucoup à Louis XV qui désire la connaître. Marie Louise est gaie, rieuse, potelée à souhait, toute ornée de fossettes. Le roi la loge dans un petit pavillon du "parc aux cerfs", la pare de diamants et de robes magnifiques. La cour désigne Mademoiselle O' Murphy du surnom de "la Morphise". Louis XV semble tellement amoureux de sa nouvelle conquête que l'on croît le règne de la marquise terminé. Marie Louise met au monde une fille Agathe Louise qui lui est tout de suite retirée pour être élevée dans un couvent. Mais le roi se lasse de sa conquête et lui trouve un mari en la personne de Jacques Pelet de Beaufranchet, comte d'Ayat, comte de Beaumont, comte de Grandmont. Par son mariage Marie Louise devient la tante du futur général Desaix qui sauva Bonaparte à Marengo. Jacques de Beaufranchet est tué à Rossbach, Marie Louise est veuve à 24 ans. Elle se remarie avec un officier des finances, un Le Normant qui devient contrôleur général d'Auvergne et meurt en 1783, c'était un lointain parent de la marquise de Pompadour. Sous la terreur, Marie Louise est arrêtée et pour échapper à son triste sort elle épouse à 57 ans, le conventionnel Dumont âgé de 30 ans, dont elle divorce. Marie Louise O' Murphy meurt le 16 janvier 1815. Madame de Troislin Maîtresse du roi depuis l'été 1756. Entre le 15 et le 20 janvier 1757, Madame de Troislin croit que la marquise de Pompadour va quitter Versailles. Il n'en est rien la marquise reste et le 28 mars 1757 Madame de Troislin se retire
Madame de Saint-germain Madame de Saint-germain a grâce aux bontés de Louis XV, une fille Louise-Marie Adélaïde de Saint-germain
Anne Couppier Mademoiselle de Romans Le 22 mars 1761,Louis perd son petit-fils le duc de Bourgogne. Il se console dans les bras de Mademoiselle de Romans. Anne est issue de la petite noblesse, son père est un homme de loi respectable. Elle refuse de se laisser enfermer dans la petite maison du parc aux cerfs. Peu de temps après Anne est enceinte de son royal amant. Elle presse le roi de lui acheter une maison près de Versailles. Mademoiselle de Romans est très grande, d'une beauté ravissante avec une chevelure noire l'enveloppant comme une cape. Elle harcèle le roi afin qu'il reconnaisse l'enfant qu'elle porte ( Louis XV ne ressemble pas à ses aïeux Henri IV et Louis XIV, il ne veut pas légitimer et encore moins les élever au palais ; il eut sept bâtards cinq filles et deux garçons un seul garçon sera légitimé. Anne harcèle tant son amant qu'il finit par lui écrire : " Je souhaite qu'il (ou elle) de Louis le roi ou Louis Bourbon à votre gré. Je désire également que ses parents nourriciers soient des gens simples ou des domestiques... " (Pierre Gaxotte). Le fils que lui donne en janvier 1762, Anne Couppier dite Mademoiselle de Romans est baptisé comme " fils de Louis Aimé Bourbon ", le nom véritable du père est révélé au curé sous le secret de la confession. Cet enfant sera le seul fils légitimé par Le roi Louis XV. Par la suite Louis présenta ses bâtards au baptême sous des noms fantaisistes, mais il leur assure une bonne éducation, une existence confortable. " Garçons et filles reçoivent des lettres de reconnaissance et maintenue de noblesse, rédigées dans les mêmes termes et comportant l'octroi du même blason, de gueules à la croix de Saint-André d'Argent " (Pierre Gaxotte). madame de Pompadour apprend la naissance du garçon et ne peut résister à l'envie de le voir. Elle contemple le tableau émouvant de la jeune mère, vêtue de dentelle noire, sa splendide chevelure relevée par un peigne de diamant, assise en train de nourrir son fils à la chevelure blonde. Quelques temps après la mort de la marquise de Pompadour, Anne essaie de se faire établir maîtresse officielle du roi, mais elle est trop exigeante. On lui fait contracter un mariage pour l'éloigner de la cour. Mademoiselle de Romans épouse en 1772 le marquis de Cavanac et en secondes noces le baron de Meilly-Coulonge. Elle réside à Passy lorsque le roi la congédie, il la sépare de son fils Louis-Aimé. Il sera connu sous le nom de l'abbé de Bourbon, il meurt à la fleur de l'âge de la variole lors d'un voyage à Naples
Mademoiselle de Tiercelin
Lucie Citoyenne C'est une petite maîtresse de Louis dont elle a deux filles, le nom de Louise figure sur l'acte de baptême des deux enfants. Lucie Citoyenne est la fille naturelle du comte d'Estaing et demi-sœur de l'amiral Miss Smith, une Anglaise Jeanne Bécu, comtesse du Barry ![]() Jeanne née le 17 août 1743 à Vaucouleurs, est la fille naturelle d'Anne Bécu, couturière au couvent de Picpus, où elle connaît un moine du nom de Jean-Jacques Gomard de Vaubernier, en religion "frère Ange" qui est peut-être le père de Jeanne. Elle porte le nom de Mademoiselle l'Ange, et se fait connaître sous celui de Vaubernier. Anne est de mœurs légères et a beaucoup d'amants. En janvier 1747, elle met au monde un second enfant, un garçon. Avoir deux enfants sans être mariée est scandaleux pour les habitants de Vaucouleurs. Anne part donc pour Paris. Dans la capitale, Anne fait la connaissance de Nicolas Rançon, fournisseur aux vivres, qu'elle épouse en 1749. En 1753, la fillette est âgée de 10 ans, J.J Gomard de Vaubernier père présumé de Jeanne, la fait admettre chez les filles de Saint Aure, adoratrices du sacré-cœur de Jésus, située rue Sainte Geneviève. Monsieur Billard du Monceau amant de sa mère, verse les cinq cents livres de pension annuelle. Jeanne y apprend à jouer du clavecin, on lui enseigne l'écriture, la lecture, l'astronomie, l'histoire, la géographie, la couture, le raccommodage et le tricot. On lui apprend l'art du maintien, savoir traverser un salon et exécuter parfaitement une révérence. A quinze ans Jeanne retourne chez sa mère, les religieuses de Saint Aure jugeant son éducation terminée. Jeanne l'élève d'un jeune perruquier, Monsieur Lametz, mais il ne lui apprend pas que la coiffure, lorsque la mère du jeune homme découvre l'intrigue, elle met Mademoiselle Bécu dehors. Jeanne est placée comme femme de chambre et lectrice chez la veuve d'un fermier général, Madame de Delay de la Garde. Madame de Delay est la mère de deux fils, tous deux mariés, le cadet à Françoise de Ligniville, comtesse du Saint-empire, l'aîné de la Garde de Saint-Vrain, est marié à Mademoiselle Duval d'Epignoy. Jeanne alors âgée de 16 ans leur plaît beaucoup. Madame de Delay, renvoie Jeanne. Voici Mademoiselle Bécu, devenue Jeanne de Vaubernier vendeuse chez un marchand de frivolités, Monsieur Labille. Son magasin " A la toilette " est le plus connu et le plus couru de tous les magasins de modes; il est installé rue neuve des petits champs à deux pas du Palais-royal et de la place des victoires. Beaucoup de gentilshommes, d'officiers et de financiers fréquentent la boutique pas seulement pour y faire des emplettes mais pour y croiser l'aguichante nouvelle vendeuse dont la beauté est déjà célèbre. Jeanne est maintenant âgée de 19 ans; blonde, pulpeuse à ravir, tout en fossettes, une peau à reflet de nacre, des yeux de feu qui font battre le cœur des hommes lorsqu'elle présente parures et falbalas. Les amants ne lui manqueront pas. Jeanne y fait la connaissance d'un "Roué", Jean du Barry, homme sans scrupules, dépensier, vantard, vaniteux et proxénète. Ce " maquereau du beau monde " d'après (Erica Marie Benadou) tient un tripot chez lui rue Jussienne où il installe Jeanne dont la beauté attire les joueurs et les galants. Jeanne devient une " prostituée de luxe ". Le faux ménage vit à l'aise dans un luxueux appartement. Jeanne tient salon, elle y reçoit le financier Radix de Sainte Foix, le comte de Fitz James, Dumouriez, le vieux Moncif, les comtes de Thiard et de Bissy, les ducs de Duras et de Richelieu, le prince de Ligne ainsi que le marquis de la Tour du Pin. Jean du Barry veut mieux encore, il estime que Jeanne est un " morceau de roi " qu'il propose d'offrir à Louis XV, sous prétexte d'obtenir pour son beau-père la fourniture aux vivres des dix-sept régiments chargés d'occuper l'île de Corse, Jeanne se rend plusieurs fois à Versailles, est-ce avec l'aide de Richelieu ? Lebel , premier valet du roi poste Jeanne sur le passage du roi. Louis remarque sa merveilleuse beauté et sa fraîcheur et par l'intermédiaire de Lebel lui fixe rendez-vous. Le roi commence à se lasser des sultanes du Parc aux cerfs. La liaison du roi et de Jeanne est discrète. De plus en plus amoureux de Madame du Barry, le roi décide de la présenter à la cour et devenir ainsi la maîtresse officielle. Mais il y a un empêchement puisque Jeanne n'est pas la vraie comtesse du Barry bien qu'elle est été présentée au roi sous ce nom. Jean du Barry est déjà marié à Catherine Ursule Dalmas de Vizorongiese dont il a un fils Alphonse. Jean fait venir du Languedoc son frère cadet Guillaume qui moyennant un honnête cadeau épouse l'ex maîtresse de son frère. Le 1er septembre 1768 à 5 heures du matin à l'église Saint-laurent, J.J Gomard, père de Jeanne bénit l'union de Jeanne et de Guillaume. Après la cérémonie celui-ci retourne en province. Madame du Barry est installée à Versailles. Il faut maintenant présenter Jeanne à la cour et à la famille royale mais qui osera conduire et présenter une " fille de rien " ? On va chercher au fond de sa province une vieille comtesse désargentée et criblée de dettes : la comtesse de Béarn. En contre partie elle reçoit 100000 livres et de l'avancement pour ses deux fils, l'un officier de cavalerie, l'autre enseigne de vaisseau. La présentation à Versailles a lieu le 22 avril 1769. Madame du Barry exécute admirablement et avec grâce les trois révérences. Aucune dame de la cour n'assiste à la cérémonie. Le 24 juillet le roi signe un brevet accordant le don du château de Louveciennes, jardins et dépendances à Madame du Barry. Elle possède une très belle bibliothèque, dans laquelle on y trouve des livres d'histoire, des récits de voyages, des mémoires ainsi que des livres de philosophie. Elle joue de la harpe, prend le ton et les manières de la cour, mais ne dit jamais de mal de personne. Jeanne est la bonté même, sans rancune ni prétention. Madame du Barry pense faire épouser à son neveu Adolphe, fils de Jean, la fille naturelle du roi et de la Morphise, Mademoiselle de Saint-André. Mais celle-ci refuse. Ce qui n'empêche pas Jeanne de faire contracter de très beaux mariages aux membres de sa famille. Le 17 mai 1771, Louis XV vend pour 16000 livres sa petite maison du Parc aux cerfs, rue Saint-Médéric. En 1772, la pension de Madame du Barry s'élève à 300000 livres qu'elle emploie dans l'achat de bijoux. En 1772, les bijoux de Jeanne sont estimés à un million six cent mille livres. De 1768 à 1774 Jeanne qui veut assurer son avenir achète pour deux millions de livres de bijoux. Madame du Barry protège les lettres et les arts comme le faisait Madame de Pompadour, mais contrairement à celle-ci, elle ne se mêle pas de politique. Jeanne est bonne , sans prétention, sans rancunes elle oublie vite les injures et les insultes, ne dit jamais de mal de personne, toutes ses vertus sont rares à cette époque. Le 24 février 1772 Jeanne obtient la séparation de " corps et d'habitation ", Guillaume reçoit en contre partie le duché de Roquelaure. Fin avril 1774 madame du Barry et le roi se trouvent à Trianon, le roi souffre de migraine et a une forte fièvre, on fait venir de Versailles son chirurgien, qui conseille à l'entourage du roi de le ramener à Paris. Le roi est atteint de la petite vérole, Madame du Barry ne quitte pas son chevet malgré la contagion. Dans la nuit du 6 mai le roi lui conseille de quitter Versailles qui ne l'aime pas, pour se rendre au château de Rueil, ce que Jeanne fait le lendemain. Le roi rend son dernier soupir le lundi 10 mai à 15h15. Tandis qu'on emmène le corps du roi à Saint-Denis, sur ordre de Louis XVI, un carrosse vient chercher Madame du Barry à Rueil afin de la conduire au couvent de Pont-aux-Dames situé au sud de Meaux. Du 13 au 23 mai Jeanne est autorisée à retirer son mobilier resté au château de Versailles, une petite partie prend la route de Pont-aux-Dames, le reste comprenant un grand nombre d'objet précieux et de meubles est acheminé vers Rueil et Louveciennes. En mars 1775, Jeanne est autorisée à quitter le couvent à la condition de ne pas reparaître à Versailles ni à Paris. Jeanne part pour le château de Saint-Vrain à deux lieues d'Arpagon. En octobre 1776, Madame du Barry est enfin autorisée à résider où bon lui semble. Elle vend Saint-Vrain, va à Paris puis regagne Louveciennes où elle fait la connaissance du fort séduisant quinquagénaire, Henry Seymour dont elle devient la maîtresse. Le duc de Brissac vient aussi lui rendre visite. Il est amoureux de Jeanne depuis 1770 à l'époque il occupait la chambre voisine de celle de Jeanne, en tant que capitaine des Cent-suisses au service du roi. En 1785, bien que marié depuis 1760 à Diane, fille duc duc de Nivernais, le grand et blond gouverneur de Paris, Louis Hercule Timoléon, duc de Cossé Brissac, 51 ans, devient l'amant de Madame du Barry, 40 ans. Jeanne vient en aide aux pauvres de Louveciennes. Le soir du 11 janvier 1791, tandis que Jeanne passe la nuit chez le duc de Brissac à Paris, le château de Louveciennes est cambriolé, on y a volé pour 400 millions de nos francs en bijoux. Jeanne commet l'imprudence de faire publier une liste des objets volés, promettant 2000 Louis de récompense. Ainsi maintenant tous connaissent le montant des richesses de l'ancienne favorite , et ceci pèsera lourd dans les plateaux de justice. Les calomnies ne vont pas tarder à se déchaîner. Les bijoux volés sont retrouvés à Londres, Jeanne s'y rend afin de les identifier. Le 16 octobre 1791, Louis XVI nomme le duc de Brissac à la tête de sa garde exceptionnelle. Le 30 mai 1792, l'assemblée vote la suppression de la garde. Le duc de Brissac est arrêté mais avant son arrestation il prend le temps d'écrire à Madame du Barry. Le duc de Brissac est massacré et dépecé lors de son transfert à Versailles afin d'y être jugé. Dans la nuit du 9 septembre une troupe avinée vient lancer la tête ensanglantée du duc aux pieds de Madame du Barry. Elle enterre la tête dans son jardin de Louveciennes. Le 1er juillet Madame du Barry est mise en arrestation chez elle avec son personnel sous la garde d'un gendarme, sous l'accusation d'avoir conspiré avec les émigrés de Londres. Madame du Barry est enfin remise en liberté et devient la maîtresse de Louis Antoine de Rohan-chabot, âgé de 60 ans. Il sera le dernier amant de Madame du Barry. Le 22 septembre le comité fait arrêter la " Dubarry " comme suspecte d'incivisme et d'aristocratie et ordonne qu'elle soit conduite à Sainte-Pélagie. Zamor (jeune garçon que Jeanne avait recueilli, élevé et chéri comme s'il était son fils) trahit sa maîtresse en dévoilant les richesses cachées et enterrées, les lettres et les documents en la possession de Jeanne. Le 8 décembre 1793, Jeanne du Barry est guillotinée sous le regard haineux de zamor. Rosalie Glorieux Rosalie est une belle jeune femme attachée au service de reine Marie. En 1735, Louis XV la remarque et en fait sa maîtresse. A Paris, le 8 janvier 1736, Rosalie met au monde un garçon qui reçoit le nom de François-torchon Desmarais. Rosalie Glorieux n'étant pas d'origine aristocratique, son fils François-torchon, n'est ni reconnu ni légitimé. François Desmarais est placé dans la maison parisienne des pères Mathurins, dits trinitaires, afin d'y recevoir une éducation de qualité et où il apprend les langues anciennes. En 1756, il prononce ses vœux et devient chanoine régulier de l'ordre de la Sainte-trinité. Louis XV l'appelle, alors, près de lui pour être son chapelain et son confesseur. Après le régicide de Damiens, François réussit à séparer son père de la favorite Madame de Pompadour, mais pour un temps très court. Il est reçu docteur en Sorbonne en juillet 1766. En 1769, le grand maître de son ordre lui donne le titre de prieur de Regniowez laissé vacant. En 1789, l'abbé Desmarais demande à la noblesse l'abandon complet de ses privilèges. Lors de la fuite à Varennes, Melle Rosalie Glorieux accompagne la famille royale. L'abbé Desmarais prend la défense de Louis XVI, de Marie-Antoinette et de Madame lors de leur procès. Ce qui lui vaut d'être arrêté et incarcéré à l'abbaye du Mont-dieu, transformée en prison politique. Après l'arrestation et l'exécution de Maximilien Robespierre, il retrouve sa liberté. " L'oncle estimé et affectionné des trois derniers Bourbon qui règneront sur la France, Louis XVI, Louis XVIII et Charles X, meurt dans l'indigence la plus totale, pauvre curé d'une paroisse misérable " (sic marc Blancpain). |
Dernière Modification 24/12/16 © Histoire de France 1996
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